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Une sorte [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de nonchalance semblait s'être emparé du pouvoir qui contrastait avec la violence de la crise. Il fallait [url=http://www.vanseodesign.com/wordpress/how-to-create-a-dropdown-menu-in-wordpress/#comment-672183]Les marâtres se révoltent[/url] réagir, rebattre les cartes, reprendre la main. C’est chose faite non sans risque car [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti[/url] maintenant il va falloir convaincre la gauche qu’elle reste [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] bien la gauche, obtenir les 300?000 emplois que fait miroiter le gouvernement en contrepartie du crédit d’imp?t, donner des gages aux Verts qui réclament de la fiscalité écologique plut?t que de la TVA , et plus difficile encore tailler dans la dépenses publique sans renoncer à l’essentiel.
Fran?ois Hollande avait déjà bousculé ses [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] troupes en faisant campagne sur [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] la réduction des déficits et la ma?trise des dépenses publiques, ce qui était l’exact contraire de [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] ce qui s’était produit en 1981 mais ce n’était qu’un début.
Fran?ois Hollande laisse faire . Si Jean -Marc Ayrault réussit, ce sera tout bénéficie [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] pour lui. S’il échoue, il aura servi de bouclier . En somme, le r?le classique d’un premier ministre.
Le président de la République et le gouvernement se retrouvaient [url=http://7.pro.tok2.com/~s-akiaki/MySite1/cgi-bin/bbs1/bbs.cgi]barbour pas cher soldes Jacqu[/url] confrontés au poids des chiffres?: 70 milliards d’euros de déficit commercial?l’an dernier, signe d’une désindustrialisation massive et d’une perte [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] de parts de marché. Leur popularité fondait. Ils étaient accusés de rester les bras ballants face au mal fran?ais, le fossé se [url=http://dyxplzx.d3374.jit8.cn/dyplzx_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] creusait chaque jour un peu plus avec les entreprises.
Six mois plus tard son gouvernement se convertit à la politique de l’offre. Il annonce une baisse des charges patronales financée partiellement par une réduction des dépenses publiques, un relèvement de la fiscalité écologique et une hausse de la TVA [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] , cet imp?t traditionnellement désigné comme ??anti social?? par la gauche et que Nicolas Sarkozy [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] avait voulu lui aussi augmenter . Qui l’eut cru??
La compétitivité est son combat, le dossier difficile dont il s’est emparé pour tenter d’asseoir enfin son autorité. C’est une affaire de conviction personnelle autant que de calcul politique? car ne rien faire finissait par devenir politiquement plus co?teux que d’agir.
Pour accomplir cette révolution , il aura fallu pas mal d’errements , beaucoup de pressions et la détermination d’un homme Jean -Marc Ayrault?. Ce n’est en effet pas un hasard si le premier ministre se retrouve en première ligne sur ce dossier, se chargeant des annonces [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] et du service après vente avec force interviews et réunions pour tenter de lever les incompréhensions.
Le ministre de l’économie Pierre Moscovici n’a pas tort de qualifier de ?révolution copernicienne?? le pacte de compétitivité [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan sito ufficiale[/url] annoncé en début de semaine par Jean- Marc Ayrault.
A l’épreuve du pouvoir, les socialistes sont capables d’accomplir des mues insoup?onnées.