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Cependant, on se demande pourquoi la scène des courses à Ascot se tient devant un rideau un peu incongru qui semble on ne sait quoi. Il vaut mieux en ce cas la même scène filmée magistralement par Cukor.
Sans vedettes connues en France, la distribution casse la baraque. Il faut la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] gr?ce mutine d'Audrey Hepburn en Eliza Doolittle pour go?ter le jeu plus "nature" de Sarah Gabriel, aussi bonne actrice que chanteuse. Mais Alex Jennings égale, sans le , Rex Harrison en Higgins. Le baryton d'opéra Donald Maxwell est truculent [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] [url=http://pokemon.ui-nap.com/cgi-bin/bbs/capture-bbs/bbs.cgi]peuterey Le microcrédit à la[/url] à souhait en Doolittle père et joue comme un pro du thé?tre. En Mme Higgins mère, Margaret Tyzack est à de , et Ed Lyon, vu dans des spectacles de musique baroque des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] florissants, est parfait en Freddy, le jeune premier. En fosse, l' swingue et s'amuse sous la direction s?re de . Au Ch?telet, il y a un an, ils avaient déjà fait des merveilles dans of Music.
Reste la pièce originale dont s'inspire My Fair Lady, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] le Pygmalion (1914), de George Bernard Shaw, qui est une splendeur de muflerie et d'acidité [url=http://www.zpfish.cn/home.php?mod=space&uid=89526][/url] sur la Vieille Angleterre d'"en haut" [url=http://discussions.allabouttheworld.com/discussion/53892/barbour-paris-password-protect-files-on-your-iphone-with-folder]barbour paris Password Protect Files On Your IPhone With Folder[/url] et d'"en bas". Pour un happy ending, dans la version pour Broadway, le célibataire endurci finit par pour sa Fair Lady ("bonne dame"), [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] au contraire de la pièce, qui le voit son célibat originel.
My Fair Lady de Frederick Loewe et Alan Jay Lerner. Thé?tre du Ch?telet, 2, rue Edouard-Colonne, Paris 1er. M? : Ch?telet. Tél. : 01-40-28-28-40. Le 11 décembre. Jusqu'au 2 janvier. De 20 ? à 111,50 ?. [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] Tél. : 01-40-28-28-40.
Un rare
(1956), de et Lerner, que présente le Thé?tre du [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] Ch?telet, est "la comédie musicale parfaite". C'est du moins celle qui, en son temps, a remporté le plus colossal et durable succès, restant à l'affiche à Broadway pendant six ans et demi, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] pour 2 717 représentations. Le film de (Vincente Minnelli avait été contacté mais avait demandé un cachet pharaonique), avec , sorti en [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] 1964, rendra planétaire ce succès anglo-saxon.
La production de Robert Carsen est d'un luxe rare pour une comédie musicale classique, mais ce sont sa tonicité, sa gaieté et son ingéniosité qui frappent le mieux. Carsen et son excellent décorateur, Tim Hatley, ont su préserver les délices du suranné dans un cadre Art déco hellénisant : le public populaire et familial, nombreux en fin de semaine, et les curieux plus habitués au genre lyrique classique "chic" y trouveront égal plaisir.
Mais la qualité et la force d'une musique ne dépendent pas de sa singularité, et, dans le domaine de la comédie musicale [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] comme dans celui de la musique classique, les similarités, emprunts, vols et parodies sont légion, surtout chez les grands compositeurs (Bernstein se souviendra d'ailleurs de My Fair Lady dans certains passages de West Side Story).
Pourtant, la musique de Loewe est loin d'être "d'un grand raffinement", peut-on dans l'introduction du programme, au Ch?telet (par ailleurs exemplaire dossier documentaire). Elle suinte le flonflon malté (Loewe, allemand de parents autrichiens, avait émigré aux Etats-Unis en 1925) et manque de singularité et de finesse mélodique et harmonique. D'ailleurs, le tube principal de la partition, I Could Have Danced All Night, est une parodie à peine dissimulée de Fascination, la rengaine valsée de Dante Pilade Marchetti et Maurice de Féraudy.
Les textes d'Alan Jay Lerner conduiraient même à des réserves si l'on en croit le compositeur et parolier Stephen Sondheim, qui, dans son ouvrage Finishing the Hat (Knopf, 2010, non traduit en fran?ais), passe en revue quelques-uns de ses confrères avec un sens critique aussi aigu [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] que carnassier. Il bl?me Lerner pour certains rel?chements de langue - le comble dans un ouvrage [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] qui a pour sujet la correction linguistique - et, surtout, pour son "manque de personnalité".