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"L' est en souffrance dans les TPE, mais elles embauchent toujours des jeunes, résume une IFOP pour Fiducial, une société de conseil aux TPE. Les moins de 30 ans (y) constituent la catégorie d'?ge la plus représentée (...) Leur présence se [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] renforce, 41 % des derniers salariés embauchés en CDI [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] n'ont pas (30 ans)."
La sociale des entreprises joue aussi pour les talents. "Il faut que des avantages soient visibles, explique Laurent Recors, président de BP2R, TPE spécialisée dans l'optimisation de la performance . Nous avons donc mis en place les RTT, alors que nous n'y sommes pas obligés."
Certaines situations peuvent toutefois la donne, comme intégrer un p?le de compétitivité. Il offre aux TPE une réelle visibilité et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] une image porteuse. "Beaucoup d'étudiants adressent directement leur CV au p?le, nous les relayons ensuite aux entreprises", indique Nicolas Leterrier, délégué général du p?le Minalogic, à Grenoble. "Autre avantage de ces p?les : les plus avant-gardistes mutualisent les compétences", assure Pierre Lamblin, directeur des études [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] de l'APEC. C'est le cas à Grenoble. "Par un simple avenant à son contrat, un salarié peut être mis à disposition d'une autre entreprise du p?le", confirme M. Leterrier. Les TPE peuvent donc bénéficier de de profils qu'elles auraient eus du mal à .
C'est finalement tout le défi des TPE [url=http://fudousan-net.co.jp/cgi-bin/fantasy.cgi]giuseppe zanotti soldes How T[/url] : à les hauts [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] potentiels qu'elles ont pu . Une prise de conscience devient nécessaire. Car, comme l'explique M. Michun, pour , "beaucoup de TPE ont appris à sur la rotation de la main-d'oeuvre, via les contrats aidés, plut?t que de à les jeunes recrues".
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Le hic, c'est que ces "jeunes" sont peu souvent des dipl?més de grandes écoles : 6 % des TPE sondées indiquent que le dernier contrat à durée indéterminé (CDI) signé était un bac + 4 et plus.
Autre moyen d' un jeune dipl?mé souvent onéreux : le regroupement de TPE, par exemple en [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Groupement d'intérêt économique (GIE). L'opération est toutefois périlleuse. "Cela fonctionne assez mal, estime M. Michun. Le responsable d'une TPE a, [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] par définition, une forte volonté d'autonomie. Il risque de se rapidement dépossédé." En outre, "sur une compétence qui lui fait défaut, une telle entité préférera un cadre expérimenté à un débutant qu'elle n'aura pas la possibilité de former", résume é, directeur des techniques professionnelles de Fiducial.
Le Volontariat international en entreprise (VIE) constitue un autre moyen de bénéficier des compétences d'un jeune dipl?mé, lorsqu'on veut développer son activité à l'. La "marque" VIE est un réel atout pour les bac + 5. La formule permet surtout d'établir le contact avec un jeune qui pourra éventuellement être [url=http://www.nxluhu.com/guestbook.asp]moncler si[/url] titularisé par la suite. Restera alors à pérenniser la relation.
Elles partent parfois avec un a priori négatif. "Certaines diront qu'elles n'ont pas l'intention de 60 000 euros chargés pour quelqu'un qui ne sait encore rien faire", indique Manuelle Malot, directrice carrière et prospective à l'Ecole des hautes études commerciales (Edhec). Niveaux de rémunération inférieurs aux grands groupes, manque de temps et de moyens pour des formations, déficit de notoriété : les TPE connaissent leurs faiblesses. Et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] beaucoup partent perdantes.
(TPE) - moins de 10 ou moins de 20 salariés, selon la définition retenue - et , les contacts sont rares. Ils gagneraient à être plus fréquents. Les TPE trouveraient les forces vives qui leur font parfois défaut pour se développer.
Entrer en contact avec [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] les jeunes dipl?més, c'est aussi à leurs devants, notamment dans les écoles. L'affaire n'est pas aisée : les grands groupes sont déjà là. "Nous avons des liens privilégiés avec des sociétés comme EDF ou Areva qui ont capitalisé sur une relation à long terme avec nous", explique-t-on à l'Ecole nationale supérieure de techniques avancées (Ensta) ParisTech.
Ce n'est pas toujours le cas. "D'autres sont dans une logique de croissance et ont adopté les outils des grandes s", note Stéphane Michun, chargé d'études au centre associé au d'études et de recherches sur les qualifications (Céreq) de Montpellier. Ces "TPE managériales" [url=http://www.jsshajj.gov.cn/E_GuestBook.asp]peuterey T[/url] réfléchissent aux moyens d' de jeunes dipl?més : "développement d'une logique d'intéressement, effort accru en termes de rémunération, meilleur accès à la formation continue."
C'est aussi une question d'image. Noyée dans la myriade de sociétés de conseil en informatique, D2-SI a fait le choix d'une "démarche différenciente" pour séduire. Ses salariés bénéficient d'un capital temps pour des activités de [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] mécénat de compétences. L'ambition de l'idée de s'affiche un peu partout, jusqu'à la "home" de son site Internet, [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] où tr?nent un morse et des manchots, symboles d'une à préserver... La ficelle est un peu grosse, il n'empêche, les résultats sont là : la TPE née en 2006 est devenue aujourd'hui une PME de 42 salariés, ne comptant quasiment que des dipl?més d'écoles.