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Deux cents meubles, tableaux et bibelots
« Aucun loyer ni dép?t de garantie n'ont jamais été versés. ? l'époque, la maison faisait l'objet d'une promesse de vente. [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Ce bail n'a [url=http://www.boyntonbusiness.com/hollistersoldes/]hollister france soldes[/url] aucun sens », précisait [url=http://www.mquin.com/pjsdoudoune.php]parajumpers pas cher[/url] Me Pudlowki.
« Je n'ai jamais signé de bail. Ce document est un faux », [url=http://www.lotogame.fr/louboutin-pas-cher/]louboutin[/url] avait soutenu l'héritier du poète.
Cette décision est un coup dur pour celui qui se débat depuis plus de dix ans dans un imbroglio judiciaire, entre soucis financiers et tracas procéduraux.

En 2001, à la mort du chanteur, Georges El Assidi hérite de plusieurs biens immobiliers, dont la maison d'Antibes surnommée « Le Bateau ». Un cadeau empoisonné. L'ancien secrétaire particulier ne peut payer les 60 % de droits de succession.

Depuis 2007, la maison est occupée par la SAS « Charles Trenet », société créée en 2007 et chargée de promouvoir l'?uvre et la mémoire du chanteur.

Le tribunal correctionnel de Grasse a débouté George Al Assidi, secrétaire général et héritier universel de Charles Trénet qui a porté plainte pour vol.

Georges El Assidi, héritier de Charles Trenet, récupérera-t-il un jour les meubles, [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] billard, piano et bibelots de celui dont il fut le secrétaire général, puis l'ami intime? Pas devant la [url=http://www.rtnagel.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] justice pénale grassoise en tout cas.
« Faux »,avait rétorqué, lors [url=http://www.villazuki.it]woolrich outlet online[/url] de l'audience du 30 novembre 2012, Me Denis Del Rio, l'avocat ni?ois désigné pour représenter les intérêts de [url=http://www.boyntonbusiness.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] cette société, aujourd'hui sans dirigeant. Et de rappeler l'existence d'un bail qui aurait été consenti en 2007 par Georges El Assidi.

En [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] 2006, il fait affaire avec la société danoise Nest, qui promet de racheter pour 4 M€ [url=http://www.lotogame.fr/louboutin-pas-cher/]louboutin pas cher[/url] la maison et une partie du mobilier [url=http://www.dearilievi.it]moncler outlet[/url] (92 meubles et bibelots aujourd'hui placés sous scellés). Elle n'en paiera jamais le prix. En 2011, la maison est mise aux enchères à 1,5 Me. Faute d'acheteur, elle revient à la banque.
« Il y a [url=http://www.dearilievi.it]piumini moncler outlet[/url] manifestement un problème [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti pas cher[/url] autour de la succession de Charles Trenet, mais il relève plus d'une juridiction civile que pénale », avait estimé la substitut du procureur Frédérique Pons, qui n'avait pas pris de réquisitions.

En plus de la restitution de quatre-vingt-douze objets placés sous scellés, Georges El Assidi demandait 200.000 € de dommages [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] et intérêts [url=http://doboku2.ace.nitech.ac.jp/cgi-bin/Conser_J/joyful/joyful.cgi]www.fayatindia.com/giuseppe-z[/url] pour la centaine de meubles et bibelots manquants (lire nos éditions du 1er décembre 2012).
Quid des deux cents meubles, tableaux et bibelots restés dans la maison ? Georges El Assidi veut les récupérer, mais il ne peut plus entrer dans les lieux.
« Une coquille vide » pour [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] Me Francis Pudlowski, l'avocat parisien [url=http://littlehandytips.com/plugins/google-custom-search/#comment-377716]How to assess which nursing job is right for you[/url] de Georges El Assidi, qui accuse cette « filiale de Nest, dirigée par un gérant de paille et sans réelle activité, d'occuper illégalement la villa d'Antibes ».

Le tribunal, présidé par Jean-Paul Grattesol, s'est rangé à cet avis en relaxant la société « Charles Trenet » de vol.
L'héritier du chanteur, qui accuse de vol l'occupant de la maison d'Antibes, où près de [url=http://towerdefensehelp.com/#comment-60764]2011 fendi handbags retail at preferential price with top quality[/url] deux cents biens ont été entreposés, a été débouté de ses demandes, hier, par le tribunal correctionnel de Grasse.

Un cadeau empoisonné