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Posted: Wed 7:35, 16 Oct 2013 Post subject: air jordan pas cher A lécole du jeu |
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A l'école élémentaire, et plus encore au collège et au lycée, seules [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] certaines disciplines, comme [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] le , les langues vivantes ou les , investissent le jeu. Souvent pour le grand bonheur des élèves et de leurs professeurs. C'est en tout cas ce qui ressort d'une expérimentation menée dans une trentaine d'établissements de [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] l'académie d'Aix-Marseille, où huit "jeux sérieux" ont été introduits de 2010 à 2012. Pour 56 % des enseignants, l'utilisation de cet outil innovant a permis d' des problématiques qui n'auraient pu l'être autrement. Plus d'un sur trois confie cependant une activité superficielle de la classe, autrement dit que le jeu passe avant les apprentissages. Dans des pays où l'épanouissement et le plaisir font partie des objectifs scolaires - du Nord, Etats-Unis, , ... -, cela ne poserait sans doute pas de [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] problème. En France, où les résultats comptent avant tout, si.
pour nos élèves", indique Nathalie Théraud, la directrice de cette école primaire qui accueille quelque 300 élèves. Dans une salle du rez-de-chaussée, pupitres et chaises ont laissé la place à une soixantaine de et de jouets. "Des jeux de société, de construction, mais aussi de "vrais" jouets, des poupées, des ch?teaux, des , des d?nettes", [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] précise la directrice.
"AM?LIORER L'IMAGE QUE LES ?L?VES SE FONT DE L'?COLE"
Mais pourquoi se à la maternelle ? "Le jeu dit "libre", celui que les enfants choisissent, celui qui les amène à définir leurs propres règles, est par essence créatif, rappelle Fran?ois Testu, professeur émérite en . Il permet de du lien , de développer l'expression, l'acceptation de l'autre, de découvrir d'autres fa?ons de , de se ... Bref, il fait l'école, souligne-t-il. Le problème, c'est que demeure ancrée [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] dans les esprits de beaucoup de parents l'idée qu'il faut tant d'heures de cours, tant de chapitres au programme [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246075558&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler sito ufficiale Jean-F[/url] pour réussir. La pression est entretenue par les adultes, même s'ils [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] s'en défendent. Et les enseignants n'ont pas les moyens de s' à cela. Si vous les interrogez sur les bénéfices du jeu, ils vous répondront : "Allégez les programmes, on en discutera après..." Eux aussi sont sous pression !"
Trois finalités seulement ? La littérature regorge de travaux de recherche sur l'intérêt du jeu, reconnu comme un facteur du développement de l'enfant - même s'il a fallu Rousseau et le succès de son traité Emile ou De l'éducation (1762) pour qu'il soit considéré comme une affaire sérieuse. A sa suite, le courant romantique des philosophes et des pédagogues s'est employé à réhabiliter un univers, celui de la spontanéité et de l'imaginaire, jusqu'alors considéré comme futile. La connaissance des processus cognitifs aussi plaide pour l'utilisation auprès des élèves du ou plut?t des jeux, jeux dits "libre" ou d'imagination, de r?le, de simulation, de stratégie ou de société, ou encore "jeux sérieux". Tous semblent servir de levier aux apprentissages en modifiant le rapport aux savoirs, en favorisant la motivation des élèves, en les poussant à se dépasser...
Et pourtant, les portes de l'école ne leur sont pas grandes ouvertes. Si conseillait de "rendre l'école aimable et le travail attrayant", une école austère s'est imposée au fil du temps et des instructions officielles. Le resserrement autour de la notion d'ordre s'est accéléré en réaction à Mai 68. Le plaisir et le jeu, reconnus dans les textes en maternelle, trouvent de moins en moins de place à l'école élémentaire [url=http://art.shzu.edu.cn/E_GuestBook.asp]barbour fr[/url] et s'effacent pratiquement au collège - où une grande majorité des élèves confient aujourd'hui s'. [url=http://www.zezhou.cn/zzrs/guestbook.asp]hollister[/url] "Notre école est bien l'héritière des Lumières, remarque l'historien de l'éducation Claude Lelièvre. C'est une école où l'on doit avant tout un travail intellectuel, méthodique, rationnel."
UN OUTIL INNOVANT
"PRIMARISATION" DE [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan sito ufficiale[/url] L'?COLE MATERNELLE
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Cet espace, accessible durant les récréations et la pause de midi, ne désemplit pas. "En jouant, les élèves décompressent, se font confiance, désamorcent les tensions, détournent les règles... et c'est tant mieux !", sourit une enseignante. Mais l'espace ludique est aussi un remède aux rythmes scolaires effrénés que le gouvernement entend réformer - six heures de classe par jour, quatre jours par semaine, trente-six semaines par an. "Certains de nos écoliers, issus de milieux populaires, parfois de communes éloignées, arrivent à l'école vers 7 heures du matin pour ne chez eux qu'à 19 heures, explique Nathalie Théraud. Sur douze heures de présence quotidienne, ils ont tout de même droit à une respiration autre que la cour de récréation !"
C'est sous la IIIe République que le jeu s'est cherché, et progressivement trouvé, une place dans les premiers ?ges, à l'initiative de , qui transforme dans les années 1880 ce qu'on appelait alors les "salles d'asile" en écoles maternelles. "Le jeu, c'est le travail de l'enfant", affirmait-elle. Pas le "jeu ruse", censé les élèves à des t?ches éducatives, mais le "jeu libre", sans objectifs d'apprentissage précis. La bataille semble gagnée dans les années 1950, en apparence.
Quand la cloche sonne la fin de la récréation, les jouets sont rangés et les enfants se mettent en rang sans . Les deux animateurs rémunérés par la mairie de Bonnières-sur-Seine n'ont pas bougé. "Lorsqu'ils retournent en classe, les élèves ne sont plus tout à fait les mêmes", assure , l'ancien directeur général de l'enseignement scolaire. Il a paraphé, en octobre 2010, une convention-cadre entre l'éducation nationale et la Fédération fran?aise des industries du jouet et de la puériculture pour développer les espaces ludiques, dont 150 sont aujourd'hui ouverts ou en passe de l'être. "Les écoliers sont plus calmes. Ils se plient plus volontiers à la discipline, à l'effort", insiste M. Blanquer.
LA RH?TORIQUE DE LA MORALE ET DE L'EFFORT
Plus d'un siècle s'est écoulé, et la tendance de ces dernières années semble très éloignée de l'élan initial : beaucoup d'enseignants dénoncent une "primarisation" de l'école maternelle, avec des exigences et des protocoles d'évaluation [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de plus en plus précoces, un rythme des petits calqué sur celui des grands et la quasi-disparition des "coins jeux", qui font pourtant la spécificité des salles de classe de maternelle. Pour ce mouvement, le ministère de l'éducation s'est engagé à créer un cycle consacré à la maternelle, en remplacement de celui qui, aujourd'hui, couvre la grande section mais aussi le CP et le CE1 (cycle 2).
Jouer pour réussir à l'école ? "Ce n'est pas la finalité, même si cela doit sans doute y contribuer", répond , l'inspecteur général de l'éducation nationale qui, depuis plus de dix ans, défend le dispositif. "A l'origine, il y a l'intuition qu'une société qui joue est une société qui a toutes les chances d'échapper à la violence, sociale et scolaire", estime cet ancien de Jack Lang. En 2002, les premiers espaces ludiques ont vu le jour en zone d'éducation prioritaire - à Roubaix notamment -, mais l'initiative, bien qu'applaudie, est [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] restée localisée. Relancée en 2011, elle s'est donné trois finalités. "A l'objectif initial, qui [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan outlet[/url] était de prévenir les conflits à l'école, sont venus s' deux intérêts complémentaires : les rythmes éducatifs à l'aune des évolutions de notre société et améliorer l'image que les élèves se font de l'école", détaille M. Villain.
Une école où la rhétorique de la morale et de l'effort s'impose très t?t et perdure : on y "travaille" - d'autant plus qu'on est sujet aux "fautes" ! - et on y fait ses "devoirs". Même le mouvement pédagogique Freinet, l'un des plus importants des années 1950 et 1960, n'est pas vraiment favorable au jeu, considérant que les enfants, spontanément, veulent . En témoignent le d'un des signés par Célestin Freinet - L'Education du travail (1949) - et l'engouement modéré, dans les écoles Freinet, pour les jeux tels que les propose, dès la première moitié du XXe siècle, un éditeur comme Nathan. "La question du jeu dans les apprentissages n'a jamais été centrale à l'école, conclut èvre. Quand elle se pose, c'est hors de la classe, pour des enfants en très grande difficulté par exemple, ou en dehors de la scolarité obligatoire." Autrement dit, avant 6 ans.
UN FACTEUR DE D?VELOPPEMENT DE [url=http://www.shewyne.com/peutereyoutlet.html]peuterey sito ufficiale[/url] L'ENFANT
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