GwifiMeter forum

cejy66vd

Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du [url=http://www13.plala.or.jp/white_roots/gwbbs/gwbbs.cgi]woolrich parka Ligue 1 lOL [/url] Monde.fr en
Entre 7 heures et 18 heures, l'entrée dans le centre de Londres co?te 10 (12 euros), un prix qui a doublé depuis l'introduction du péage. Seul un grand "C" blanc sur fond rouge peint au sol indique l'entrée dans la zone. Les [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] plaques d'immatriculation des véhicules sont identifiées par 1 900 caméras et le système vérifie que le paiement a été effectué. L'utilisateur a jusqu'à minuit de la même journée pour . [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Taxis, "propres" (moins de 100 g de CO2 par [url=http://cgi.www5a.biglobe.ne.jp/~y-kinsan/OFF-BBS/aska.cgi]www.vivid-host.com/barbour.ht[/url] kilomètre), deux-roues et véhicules d'urgence sont exemptés. La nuit et les week-ends sont gratuits.
LE SYST?ME RAPPORTE BEAUCOUP D'ARGENT
L'EXP?RIENCE LONDONIENNE N'A PRATIQUEMENT PAS ?T? [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%20Resu%3C/font%3E%3C/td%3E%3Ctd%20width%3D85%20valign%3Dtop%3E%3Cfont%20color%3D949694%3E[06/index.html]air jordan Led Flood Light Sp[/url] COPI?E?
BORIS JOHNSON ENVISAGE UNE ZONE "? ULTRABASSES ?MISSIONS"?
C'est pour cela que [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] la [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] capitale britannique a mis en place, depuis 2008, une zone "à faibles émissions" de polluants atmosphériques. Couvrant presque tout le Grand Londres, celle-ci vise les camions, qui doivent certaines normes de pollution, à moins de jusqu'à 230 euros de taxe par jour. Un montant suffisamment élevé pour les à se aux normes.
Boris Johnson vient d' qu'il envisage désormais d' plus loin, avec une zone "à ultrabasses émissions" : à de 2020, seuls les véhicules les plus propres seraient autorisés à dans le centre-ville. Les premières consultations devraient lieu cette année.
Dernier problème enfin, le système a montré les limites de sa popularité. S'il est bien accepté dans son emplacement actuel, la City, où presque personne n'habite, le péage a provoqué une intense controverse lors de son extension dans l'ouest résidentiel de la ville, en 2007. Flairant le bon [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] coup , le maire Boris Johnson, qui faisait campagne pour la mairie de Londres, a promis d' cette extension. Ce qu'il a fait une fois élu.
Siemens, qui gère le péage urbain, affirme posséder la technologie nécessaire à ce projet. Quelle que soit la solution retenue, Londres veut beaucoup plus loin que la congestion charge.
Londres est ainsi entré dans un cercle vertueux, décourageant les voitures mais offrant aux voyageurs des bus plus fréquents. "Le péage urbain a contribué à un basculement sans précédent de 9 % d'automobilistes vers d'autres modes de transport", explique , de Transport for London, la régie des transports publics de la ville.
"La congestion charge nous a bien servis, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] mais il faut désormais plus loin", estime Darren Johnson, municipal du groupe Vert à Londres. Boris Johnson, le maire, ne dit pas le contraire quand il critique le péage urbain comme étant un "outil qui manque de finesse".
de Londres le 17 février 2003, , qui en était alors le maire, promettait monts et merveilles.
Tout cela se traduit par un impact inexistant sur la pollution. En 2011, le Institute (HEI) a mené [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la seule [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] étude indépendante sur le sujet. Conclusion : "Malgré leurs efforts exhaustifs, les chercheurs n'ont [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] pas trouvé de preuve solide d'amélioration de la qualité de l'air."
Dix ans plus tard, le bilan de la congestion charge, qui reste l'une des principales expériences de péage urbain dans le monde, est mitigé. Au point que Londres réfléchit aujourd'hui à un nouveau dispositif. Car si le trafic a été nettement [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] réduit, les embouteillages demeurent et la qualité de l'air ne s'est pas améliorée.
Autre inconvénient : la circulation s'est partiellement détournée vers d'autres routes. La grande avenue qui contourne le nord du péage urbain est ainsi réputée pour ses bouchons.
Le nombre de voitures entrant dans la zone a baissé de 15 % presque du jour au lendemain et est depuis resté stable. Mieux encore : le système rapporte beaucoup d'argent. En une décennie, la mairie de Londres a encaissé 1,2 milliard de livres (1,4 milliard d'euros) net, entièrement investis dans l'amélioration des en commun.
Pas assez ambitieux, réplique . L'élu écologiste suggère un système radical, où la circulation serait payante dans l'ensemble de Londres, en fonction [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] de l'heure et de la route empruntée : une grande avenue à heure de pointe co?terait très cher, tandis qu'une petite rue de nuit serait gratuite. Trop compliqué ? "Nous avons l'habitude de différentes sommes pour différents trajets dans le métro. Pourquoi ne pas de même avec les voitures ?", s'interroge-t-il.
Deux raisons sont mises en avant. D'abord, les voitures individuelles ont été remplacées par des taxis et des bus qui fonctionnent souvent au diesel, très polluant. Ensuite, la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] zone couverte par le péage urbain ne représente que 3,5 % de la circulation du . Son impact est donc très faible. "La pollution de l'air ne conna?t pas de barrière", explique , le président de HEI.
En raison de ces difficultés, l'expérience londonienne, qui avait initialement intrigué de très nombreuses villes, n'a pratiquement pas été copiée. Stockholm est l'une des rares capitales à suivi, en 2007. Manchester, qui avait été très loin dans l'étude du projet, a fini par .
Pour autant, la congestion charge montre aujourd'hui ses limites : les embouteillages sont revenus au niveau de 2003. L'explication est multiple. Les vieilles canalisations d'eau ayant besoin d'être remplacées d'urgence, les rues de Londres sont en chantier quasi permanent. De nombreux couloirs de bus – et quelques pistes cyclables – ont aussi été tracés, réduisant la surface allouée aux voitures.
"PAS DE PREUVE SOLIDE D'AM?LIORATION DE LA QUALIT? DE L'AIR"?