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Après la sécession, il est resté au Soudan (Nord) 30 000 hommes de l'ex-rébellion, le SPLM. Lorsque l'indépendance a été proclamée à Juba, ces derniers sont devenus membres d'une nouvelle formation, le SPLM-Nord (SPLM-N). Derrière [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url] les d'acronymes, une rébellion se mettait en place.
Dans l'intervalle, une ancienne rébellion de l'est du Soudan, le Congrès Beja, affirme être réactivée et de à ces opérations. Les théoriciens du Sud évoquent l'organisation d'un "soulèvement [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]jordan pas cher All Inclusive[/url] populaire protégé", ensemble de manifestations insurrectionnelles qui seraient "protégées" par les forces armées anti-Khartoum. A ce stade, une couronne de feu qui s'allumerait sur une longue ligne le long de la frontière entre le Nord et le Sud, pratiquement depuis le Darfour jusqu'aux Etats voisins de la mer Rouge, voire à Khartoum, demeure encore théorique.
Le (dont la capitale est Juba) et le Soudan (Khartoum) s'entraccusent d' de l'autre c?té de leur frontière commune et non délimitée pour les groupes és qui combattent les deux capitales.
Suleiman Baldo, directeur Afrique du de transitionnelle, pronostique : "Des affrontements à grande échelle sont en préparation. Les prochaines semaines devraient une escalade de la violence avec des conséquences graves, notamment au point de vue humanitaire."
Jusqu'à aujourd'hui, ces affrontements graves étaient restés limités géographiquement. Mais ils menacent à présent de s'étendre. Khartoum, relèvent des sources concordantes, avait anticipé ces combats, massé des troupes et du matériel, réorganisé les milices recrutées au sein des tribus arabes, les Forces de populaires (FDP), qui compteraient désormais plusieurs dizaines de milliers d'hommes. Inversement, le SPLM-N peut pour son ravitaillement sur le Sud, quoique de manière clandestine, relève une source bien informée.
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Dans la Corne de l', ces pratiques sont courantes, mais de la guerre par procuration à la guerre ouverte, il y a une distance qui semble rétrécir à mesure qu'augmente le nombre d'incidents graves. Avions du Nord bombardant une ville du Sud, armes lourdes (dont chaque camp a fait une ample provision avant la sécession pour se préparer au pire) utilisées en soutien à des rébellions, etc.
L'une d'elles, l'Armée de libération du Soudan du Sud (ALSS), menace d' Malakal, une des villes pétrolières de la région. Le érieur est aussi l'Etat qui se trouve entre le Kordofan Sud et le Nil-Bleu, rendant aussi impossible une éventuelle jonction entre ces deux zones tenues par le SPLM-N.
Dans leur premier texte, qu'ils affirment rédigé [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] au terme d'une conférence tenue à Kauda (Darfour Sud), mais que Khartoum accuse Juba d' hébergé en secret dans la capitale sudiste, les alliés appellent "toutes les forces politiques soudanaises à la voie des négociations avec le régime du NCP (Parti du congrès, au au Nord) et d' une démarche d'ensemble pour de régime à Khartoum".
La rébellion darfourie avait auparavant éclaté en factions. [url=http://www.riad-marrakesh.fr]www.riad-marrakesh.fr[/url] Les trois groupes désormais alliés au SPLM-N forment [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] un Front révolutionnaire du Soudan (SRF), qui [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] inclut les hommes de , du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), ceux de (Mouvement de libération du Soudan-MM) et d'Abdulwahid al-Nur (Mouvement de libération du Soudan-AW).
Avant la signature de l'accord de Kauda, , le chef du SPLM-N, déclarait au Monde : "Il n'y a aucun problème pour une alliance avec Khalil Ibrahim ; Il a changé. Nous sommes tous engagés pour le changement de régime à Khartoum." D'autres groupes peuvent être tentés de se à ce combat dans la mesure où le nordiste fait face à une crise économique grave, ne produisant plus que 150 000 barils de pétrole par jour, contre le triple avant la sécession.
Ces tensions ne sont pas nouvelles. Dans les phases successives de mise en place de l'indépendance du Sud, les premiers troubles étaient apparus dans les zones dites "contestées", qui avaient [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]www.mxitcms.com/abercrombie/[/url] été, pendant la guerre [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] civile, des foyers de rébellion sudiste installés géographiquement au Nord.
Au Soudan du Sud, inversement, des rébellions qui combattent le de Juba gagnent en importance. Dans l'Etat de Jongle? (voisin de l'Ethiopie), les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] troupes du commandant rebelle George Athor sont repassées en "actif". Leur [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] chef avait signé un cessez-le-feu en janvier, mais les affrontements se sont poursuivis sporadiquement.
Les routes qui sèchent, lorsque se termine la saison des pluies, ont un effet connu au : celui de aux unités mécanisées de l' de et de la guerre avec plus de facilité. Pendant la seconde guerre civile (1983-2005), il y eut de nombreuses "offensives de saison sèche". Depuis que le Sud a fait sécession, en juillet, il y a désormais deux Soudans et, au fur et à mesure que [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi?mode=view&no=1106297&res=1&page=450]peuterey sito ufficiale En Eg[/url] la boue sèche de nouveau, les craintes de les deux Etats jumeaux se par une escalade d'opérations militaires grandit.
Khalil Ibrahim, le chef du JEM revenu récemment de (chassé par la chute de Mouammar [url=http://globallinkus.com/activity/p/238612/]hollister outlet sale Ouverture dune enquête préliminaire après la plainte de Lauvergeon[/url] Kadhafi), avec un grand nombre [url=http://www.wiis.fr]louboutin pas cher[/url] de pick-up flambant neufs, et les armes qui permettent d'en d'efficaces machines de guerre de zone aride, est issu de la mouvance islamiste soudanaise, historiquement ennemie du SPLM.
George Athor affirme encore à la possibilité d'un accord, "car nous ne pensons pas [url=http://www.marrakech-hotel.fr]www.marrakech-hotel.fr[/url] que le problème puisse être résolu militairement", mais les problèmes entre communautés du Jongle?, et de contestation parmi les sudistes de l'hégémonie politique des Dinka dans l'appareil , alimentent la violence. Dans l'é, d'autres milices sudistes anti-Juba, manipulées ou équipées par Khartoum, opèrent dans les zones pétrolières.
En mai, avant même l'indépendance, les premiers coups de feu étaient tirés à Abyei. En juin, le s'embrasait. En ao?t, le Nil-Bleu entrait dans la guerre lorsque Khartoum interdisait le SPLM-N et tentait d'arrêter son chef dans la région, . Des divisions nordistes ont été massées dans la région, aboutissant à la prise de Kourmouk il y a deux semaines .
Des délégations du Sud et du Nord devraient se à du 21 novembre en pour de réactiver un processus de négociations au point mort, encadré par l'. Plusieurs questions-clés devraient y être abordées. Celle du paiement des royalties pour passer le sudiste dans l'oléoduc du Nord, sa seule voie de sortie pour l'exportation et celle du statut d'Abyei, où se cumulent tous les éléments explosifs de la région : champs pétroliers, cohabitation de groupes affiliés au Nord et au Sud, forte présence militaire.
Il faudra plus qu'une ébauche de négociations pour l'extension du conflit. Confiné jusqu'ici dans les zones contestées, celui-ci est programmé pour s'étendre. Un accord a été signé le 11 novembre entre trois groupes du Darfour [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] et le SPLM-N.